• Որբունի@jlai.lu
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    7 months ago

    Vous découvrez pas d’un fil.

    Ici ça va pioncer dans la journée pour un merveilleux service de nuit. Pour pas trop me perturber le cerveau j’essaie de pas manger la nuit quand je travaille donc je sens que le petit-déjeuner à l’hôtel je vais encore me gaver. Puis je finis pas loin de Douai et y a une exposition intéressante.

    • Ziggurat@sh.itjust.works
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      7 months ago

      Bon courage, tu dors comment quand tu fais des nuits ? J’ai tendance à faire une sièste du matin, et une sièste de l’après-midi avec 2-3h d’activité au milieu (surtout quand je suis à l’étranger où j’aime bien quand même voire la ville)

      • Որբունի@jlai.lu
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        7 months ago

        Je vais dormir dans l’après-midi pour autant de temps que possible après m’être levé tôt. Avec de la mélatonine j’arrive à m’endormir. J’évite la caféine le matin. Mes services de nuit hors samedi sont horribles pour certains (pas le samedi) : je repars le jour même à 18h, donc à peine le temps de manger, dormir et se laver.

        Je ne vais pas encore à l’étranger mais j’insiste pour y aller dès que possible (selon les contrats de l’entreprise…), hélas ça sera probablement limité à des gares aux frontières (selon les horaires ça pourrait quand même permettre de se promener).

    • Skunk@jlai.lu
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      7 months ago

      Aïe bon courage pour la nuit. Ça fait 20 ans que je fais ça de la mauvaise manière (dormir toute la journée et ne pas voir le jour durant mes services de nuit).

      Depuis janvier 2024 j’essaie de suivre le rythme recommandé, soit vivre normalement quitte à faire une sieste en fin de journée mais l’énorme différence c’est que nous avons le droit de dormir pendant le service (il y a des chambres exprès) alors que dans la cabine d’une loco c’est pas très recommandé…

      Par contre impossible de résister à la petite faim qui vient toujours vers minuit/1h du matin. Faim qui d’après les nutritionnistes est normale, mais on est supposé dormir à ce moment là donc on ne s’en rend habituellement pas compte.

      PS: Dommage le musée de la chartreuse n’a rien à voir avec l’iconique boisson trop chère fabriquée par des moines pas loin de Grenoble.