Merci :-)
Merci :-)
Oui, où 8 empires qui sont autant de parodies d’idéologies politiques s’affrontent. C’est pas mal décalé, et les persos ont plein de possibilités de jeu.
Après Par-delà le carnaval de Sorcelume, c’est un scénar avec très peu de combats. C’est notre deuxième vrai combat en 9 parties… iels ont pas eu le temps de prendre en main leurs persos niveau combat. Et une guenaude ça fait beaucoup pour 4 persos niveau 2, même avec des joueurs expérimentés… Mais ils ont eu de bonnes idées, et moi même si j’ai pas truqué les dés j’ai été gentil avec leurs idées 😅.
Vendredi soir, j’ai eu une super session de DnD. Je suis MJ depuis un peu plus de deux ans maintenant, mais vu qu’on joue qu’une dizaine de fois par an pour des sessions moyennes (autour de 2h30/3h) j’ai pas une expérience de fou. Et puis je suis tombé sur le bouquin The Lazy Dungeon Master. J’ai juste survolé le truc, et ça m’a fait préparer la session différemment… ce qui a presque mené le groupe à un TPK, mais grâce à leur ingénuité, ça s’est transformé en une grosse avancée dans la narration et un combat épique ! Je suis content. Mais bon sang que le combat était mal balancé (on joue à Par-delà le carnaval de Sorcelume).
tu va maîtriser tomber sans te faire mal et ça t’évitera des visites aux urgences
C’est ce que l’enseignant a dit aussi. Après si je claque les mains sur le macadam comme on le fait sur le tatami, je m’explose les bras 😅.
J’ai inscrit ma fille de 4 ans au judo. Je suis content parce qu’elle a beaucoup aimé, alors qu’elle est très timide… et très têtue. J’avais peur qu’elle se braque ; mais finalement après quelques pleurs devant la porte elle y a été et elle est ressortie en me disant qu’elle était pressée d’y retourner !
Et puis j’ai trouvé ça tellement cool que je me suis inscrit aussi. Lundi ça sera ma troisième séance (enfin, presque, j’étais pas encore remis de la première pour la deuxième j’ai dû partir avant la fin), et comme la fille, je suis pressé d’y retourner :-)
Oui j’ai pas trop aimé, alors que j’aimais beaucoup la série. J’ai trouvé ça long et télescopé, mais je l’avais vu à la sortie et pas revu depuis, donc je me souviens plus pourquoi 😅
Le dernier que j’utilise c’est manjaro.fr, mais j’y publie très peu, je le lis surtout.
it’s better if you can get owner’s consent, but as you are building a service for everyone to use, you can do it without owner’s consent
That’s how I understood too.
Un peu. Le soleil qui se couche trop tard l’été est perturbant aussi, peut-être même plus. Et encore, au Danemark ça va, et c’est une des raisons pour lesquelles j’avais choisi ce pays plutôt que la Norvège (j’aurais pu finir au-delà du cercle polaire ; à Kirkenes, la nuit dure de fin novembre à mi-janvier…).
Oui ça a pas l’air extrêmement compliqué, mais les ressources que j’avais trouvées pour l’apprendre considéraient toutes que l’apprenant·e savait coder. Or moi je suis débutant absolu.
J’ai commencé et un peu avancé sur deux bouquins :
Et puis ils se sont endormis dans mes dossiers.
Sinon, j’ai essayé d’apprendre le COBOL sans succès. J’ai aussi pensé sérieusement m’expatrier en Scandinavie, probablement au Danemark.
Ça se passe comment “l’ordination” d’un pasteur ? Il y a une cérémonie spécifique ?
Tout dépend de la tradition. Dans mon Église, qui rassemble des luthériens (qui parlent d’ordination) et des réformés (qui parlent de reconnaissance de ministère pastoral) on a une cérémonie commune à tou·te·s les futur·e·s pasteur·e·s, dans laquelle on rappelle ce que la Bible dit des ministères, on prie et bénit les ordinands et où un·e inspecteur·trice ecclésiastique impose les mains.
Si la liturgie en elle-même t’intéresse, il y a un exemple dans ce bouquin, aux pages 46 à 60.
une église (toutes foi confondues) préférée ?
Architecturalement, sans hésitation Saint-Pierre-le-Jeune protestant.
Comme paroisse, c’était Saint-Paul en ville.
Mais j’aimais aussi me rendre à la messe grégorienne à la cathédrale. C’était magnifique.
Alors, je ne suis pas spécialiste des États-Unis, mais ce qui s’y passe n’est pas surprenant. La religion est un fait social puissant, difficile à maîtriser certes, surtout à long terme, mais qui peut quand on l’instrumentalise renverser du tout au tout une situation politique ou au contraire faire durer un statu quo qui sans elle aurait périclité. Et comme il s’agit d’une instrumentalisation, les valeurs et idées portées par la religion en question importent peu. Trump n’en a rien à faire de Jésus et de son message. Les évangéliques radicaux·ales qui le suivent aussi, et dans les autres cercles chrétiens on se moque assez régulièrement de sorties de pasteurs (pour le coup essentiellement des hommes) et de paroissien·ne·s de ses mouvances-là et qui vont rejeter explicitement des citations de Jésus dans les évangiles parce que c’est trop « liberal » (au sens américain, nous on dirait trop progressiste), et ce, même après qu’ils aient appris que c’étaient des citations de Jésus.
Dans l’histoire du christianisme on a beaucoup d’exemples d’instrumentalisations de ce type. Les princes européens qui vont lancer les croisades parce qu’il y a trop de nobliaux et pas assez de terres, les conquistadores qui vont avancer l’idée les amérindiens n’ont pas les mêmes droits que les autres humains, ce qui va permettre de relancer l’esclavage qui avait été interdit par l’Église, les prêtres et pasteurs envoyés en Afrique pour faciliter et justifier la colonisation, les curés de coron qui prêchaient la soumission aux propriétaires des mines … Mais dans tous ces cas, comme aujourd’hui aux États-Unis (un exemple publié hier), il y a eu des chrétien·ne·s pour s’opposer, au nom des valeurs de l’Évangile, à ces instrumentalisations. Jésus lui-même dans la Bible dit que son nom sera utilisé par des loups.
Sur la moralité, je me suis amusé à poser la question à des ami·e·s matérialistes (au sens philosophique), qui souvent militent à la gauche de la gauche : d’un point de vue matérialiste, pourquoi essayer de changer le monde pour le mieux ? Je n’ai jamais eu de réponse satisfaisante, uniquement des raisonnements circulaires.
Je pense qu’on peut tout à fait être moral·e sans être croyant·e, et c’est le cas de ces ami·e·s en question. De plus, le christianisme enseigne que le salut est donné par grâce, et pas par récompense… donc être bon « n’achète » pas une place au paradis, et ne change rien au statut post mortem. Mais je crois que ce qui nous pousse à faire le bien est imputable à Dieu. L’étincelle de moralité est un cadeau que Dieu a donné, sous différentes formes, aux êtres sensibles (je pense d’ailleurs que la science va bientôt démontrer que certains animaux ont des pratiques morales, voire des plantes), quelles que soient leurs convictions religieuses.
Alors moi je le dirais autrement. Comparaison n’est pas raison, et il y a des différences fondamentales mais :
J’essaie ^^.
Mon vrai problème c’est d’utiliser « il » pour Dieu, sachant qu’« il » est décrit dans la Bible sous des traits masculins et féminins. Certain·e·s d’ailleurs orthographient « Dieu·e » (notamment les membres de l’antenne inclusive de mon Église), mais je suis (au moins pour l’instant) un peu bloqué là-dessus 😅 .
C’est mon plaisir :-)
C’est un plaisir :-)
Non, je suis plutôt chauffage de lait 😁
Me too :-)
But I have far too much leaves in my compost, I believe.