J’ai acheté un paquet de fils à scoubidous mercredi dernier pour mes filles… ça ne les a pas intéressé, mais moi je kiffe ! J’en avais jamais fait avant.
Je me rends compte que je suis souvent sur mon téléphone juste pour occuper mes doigts. Quand j’ai cette envie, je sors mon scoubidou et comme ça j’ai pas mal réduit mon utilisation de smartphone. Ça durera probablement pas, mais j’en profite.
En illustration, mon premier 3 couleurs :-)
Sympa ce scoubidou de Zloubida
Les vieux te diront qu’ils faut brûler les bouts avec un briquet mais je me demande pourquoi désormais.
Pour le sceller. Je l’ai fait avec le premier, mais ça fait le bout tout noir tout moche, j’aime pas.
Les suivants j’ai fait des nœuds en laissant dépasser du fil pour pas qu’ils s’ouvrent même si le nœud se détend ; celui là je l’ai coupé à ras, je verrai si ça tient.
Oui, je fais des expériences je m’amuse comme un petit fou. Fuck notre société genrée qui a pas permis à Zloubidenfant ou à Zloubidado de tester ça parce que c’est un garçon.
Ah bon ? J’ai vécu ~~la ~~ une des époques de folie du scoubidou. C’était le handspinner de ma génération et on en faisait tous. Bon, les filles un peu plus peut-être mais c’est tout.
Je suis sûrement un petit peu plus vieux que toi alors. Mais il y a aussi des divergences géographiques assez importantes avec ces trucs.
Ah… Nostalgie :) Je pouvais faire des scoubidous ronds et des carrés et plusieurs variations sans le moindre modèle. J’avais reçu des livres avec des modèles compliqués et des petits objets en cadeau. J’ai tout oublié, hélas…
Moi, je me suis mis a faire des trucs en paracord
Qu’est-ce que c’est ?
Je connaissais pas non plus alors j’ai regardé : apparemment c’est de la corde de parachutistes qu’on peut tresser pour faire des bracelets, des porte-clefs et d’autres trucs sympas.
Bravo ! Il faut justement que je m’y mette. Ma fille a ramené un scoobidoo non terminé du centre de loisirs et je ne sais pas comment le finir.
J’ai utilisé ce site pour apprendre :-)
Super, merci !
Il est en forme de salami, j’ai peur.